Interview de Valérie Sauvage – Coach et formatrice

➽ Découvrons l’interview de Valérie Sauvage. Coach, formatrice et spécialiste en développement personnel, elle est aussi auteure du livre : Devenir le profil irrésistible. C’est parti ! ✅

Vidéos

Version « Rafale » :

Version intégrale :

https://youtu.be/O_WLEhF9wJs

Podcast

Version « Rafale » :

Version intégrale :

Retranscription – Interview Valérie Sauvage

Mister Fanjo : Bonjour à tous, bienvenue dans l’émission Interview Rafale. Le concept est simple, retrouver dans chaque épisode les pépites d’une interview avec un ou plusieurs invités qui se sont prêtés à une série de questions rafales. Découvrez leurs projets, leurs habitudes quotidiennes, leurs recommandations en termes de séries, musiques ou chaînes YouTube, et plus généralement, leurs conseils basés sur leurs expériences personnelles. Aujourd’hui, nous accueillons Valérie Sauvage, coach, formatrice et spécialiste en développement personnel. Sans plus tarder, découvrons les meilleurs extraits de son interview. C’est parti.

Qui est Valérie Sauvage ?

Mister Fanjo : Valérie, avant de rentrer dans les détails de votre parcours et vos projets, pourriez-vous, s’il vous plaît, vous présenter ainsi que votre projet pour ceux qui ne vous connaissent pas ?

Valérie Sauvage : Bonjour, oui, évidemment, et plaisir. Je vais me présenter en quelques mots. Je suis coach depuis des années, passionnée par l’humain. Une ancienne formation qui remonte à plus de 20 ans en psychologie, ainsi que des formations en PNL, en neurosciences, en coaching, et différentes certifications et spécialités m’amènent aujourd’hui à accompagner des particuliers en cabinet, des professionnels et élus politiques. Je fais partie des quelques coachs qui accompagnent nos députés à l’Assemblée nationale. Mon but est d’accompagner vers un réalignement entre nos rêves, nos envies, nos aspirations, et nos actions, ce qu’on est, ce qu’on vit, ce qu’on vibre. C’est le cœur de mon activité quotidienne.

Première expérience professionnelle chez Air France

Mister Fanjo : Pour rentrer dans les détails de votre parcours, vous dites que vous avez fait des études en psychologie. Quelles sont vos premières expériences professionnelles ? Vous avez commencé directement votre activité de coaching après vos études ? 

Valérie Sauvage : Pas du tout. Moi, je suis une amoureuse des opportunités et j’ai commencé mon premier vrai travail (je ne vais pas parler de tous les petits jobs d’étudiante) en commençant par rentrer chez Air France en tant qu’hôtesse de l’air. J’ai eu la chance de voyager dans le monde entier. J’étais sur long-courrier. Je profitais des temps d’escale pour aller découvrir des cultures, des cuisines, des personnes avec des histoires de vie tellement différentes, et aussi me former. J’ai eu la chance de pouvoir me former autour de la psychologie et du monde de la stratégie entrepreneuriale. Je suis passionnée de création d’entreprises depuis mes 23 ans. J’ai passé beaucoup de temps dans les incubateurs de startups, notamment aux États-Unis. Je me suis intéressée au bouddhisme en Asie, et en mélangeant tout ça, ça donne une approche du développement personnel très enrichie au niveau international. 

La transition vers le coaching

Mister Fanjo : À quel moment avez-vous décidé de quitter votre poste chez Air France pour vous lancer pleinement dans le coaching? Comment s’est faite la transition ?

Valérie Sauvage : J’avais déjà une start-up à côté d’Air France, c’est-à-dire que je jonglais déjà avec mon activité d’hôtesse. J’avais diminué mon temps de travail, j’étais passée à 75 %. J’avais créé en 2015 une start-up qui s’appelle le label Artisan de Confiance. Entourée de tellement d’entrepreneurs, j’avais ce côté stratégique qui coule un peu dans les veines. Je donnais des conseils et je coachais certains de mes confrères. Jusqu’à ce qu’un formateur et coach me disent : “écoute, tu es bien gentille de donner autant de conseils, j’adore. Par contre, installe-toi réellement comme coach parce que là, tu me fais de la concurrence déloyale en ne faisant pas payer les personnes que tu conseilles gratuitement”. Je n’y avais jamais pensé de moi-même.Je faisais ça complètement instinctivement. J’ai donc décidé de faire ça à côté de la startup. Ca a pris un tel envol qu’au bout d’un moment, j’ai dû choisir entre deux activités que j’adorais, mon activité autour des voyages chez Air France et puis le coaching. J’ai fait le choix du coaching.

Sa spécialisation dans le coaching

Mister Fanjo : Est-ce que vous aviez une spécialité dans le coaching ?

Valérie Sauvage : Je travaille autour de tout ce qui va être lié à la communication. Pour moi, la communication est la base de tout. C’est comme ça qu’on arrive à s’aimer soi-même, en tenant le bon discours, en étant attentif à soi, à ses besoins, à ses valeurs. Et puis, du coup, à apporter la même chose aux autres. C’est-à-dire qu’aimer, c’est vouloir le bonheur de l’autre. Souvent dans la communication, on a tendance à oublier qu’on est à plusieurs, à vouloir se protéger, à vouloir s’affirmer, s’imposer, montrer qu’on existe. Quand on plonge dans l’univers de la communication interpersonnelle (je ne parle pas de la communication et du marketing), on découvre de telles choses qu’on peut déployer aussi bien en développement personnel, en entreprise, en management, en prise de parole en public. J’ai beaucoup de sujets de coaching et de formation, mais tout est ancré sur la bienveillance de la communication à soi et aux autres. 

L’explosion de l’activité

Mister Fanjo : Si je comprends bien, vous commencez votre activité, ça explose et ensuite, comment évolue cette activité ?

Valérie Sauvage : Alors, au départ, j’avais un bureau chez mon comptable qui, très gentiment, me prêtait un lieu parce que je pensais que ça allait occuper 5 heures par semaine (peut-être 7). En fait, ça a duré un mois. Au bout d’un mois, j’en avais plutôt 13/15 heures. Ça a pris tellement de place que je me suis dit ; c’est un réel envol. Je suis montée jusqu’à 10 heures de coaching par jour, 5 jours par semaine. À la fois, on peut se dire que ça vide, mais moi, ça me nourrit énormément d’accompagner, de cheminer avec mes clients. Ça a même pris  la place de la start-up, au sens où je n’avais plus de temps pour la développer. J’ai donc décidé d’embaucher pour la start-up. Je me suis entourée d’une équipe. A la fois, j’ai des freelances. A la fois, j’ai fait le choix d’essayer avec des stagiaires que j’ai embauchés après en alternance. Comme ça, ils ont été moulés et ils ont eu le temps de me tester (autant que moi je le faisais avec eux) et voir si on pouvait avoir envie de collaborer sur la durée. Aujourd’hui, j’ai trois entreprises : la start-up, j’ai l’activité de coaching et puis j’ai un centre de formation qui accompagne sur ces mêmes sujets, mais en module collectif sur des sujets de management, communication et prise de parole en public. 

La startup – Le label Artisans de Confiance

Mister Fanjo : Je n’ai pas bien compris, la startup c’est dans quel domaine et quelle est l’activité ? 

Valérie Sauvage : C’est un label qualité qui s’appelle le label artisan confiance. L’idée est de devenir le guide Michelin des artisans du bâtiment pour s’assurer de la qualité et du sérieux des professionnels à qui on s’adresse. 

L’organisation au quotidien

Mister Fanjo : Entre ces trois activités, comment répartissez-vous votre temps et comment s’organise votre quotidien ?

Valérie Sauvage : J’ai 90% de mon temps qui est autour du coaching et de la formation. 10% de mon temps sur la start-up. C’est pour ça que j’ai de l’aide pour la start-up parce qu’il faut qu’elle tourne non-stop. Que nos artisans labellisés puissent avoir un interlocuteur dès qu’ils en ont besoin. Au niveau de mon temps, j’ai des journées qui effectivement sont un peu à rallonge. Je pense que vous l’avez compris. Je peux commencer à 8 heures, finir des fois à 20h30, 21h30. Tout autant que je peux prendre des journées complètement blanches (où je ne suis pas concentrée sur l’administratif) où je profite. Je m’attelle aussi à prendre des vacances extrêmement régulièrement, en période scolaire ou hors période scolaire. On fait partie de ces parents parfois jugés indélicats par les enseignants parce qu’on offre un autre type d’enseignement à nos enfants en les emmenant au bout du monde. On trouve qu’on a beaucoup à apprendre comme ça aussi. Je veille à préserver un équilibre de vie étant maman, étant mariée. C’est-à-dire que la passion pour l’activité professionnelle, quelle que soit sa forme, ne doit pas me faire oublier que j’ai aussi d’autres casquettes. Et je préserve tous les domaines de vie pour durer. 

Le coaching des députés

Mister Fanjo : En quoi consiste l’accompagnement des députés dans l’Assemblée ? Est-ce du coaching ? 

Valérie Sauvage : Oui, c’est l’activité de coaching. J’accompagne des députés sur le modelage de leur carrière. C’est-à-dire la stratégie de travail de posture, de management, parce qu’il y a tout un travail à faire pour pouvoir motiver ses collaborateurs, pour pouvoir les garder, pour pouvoir les voir avancer en fonction des aspirations professionnelles, et puis aussi pour être à l’aise en prise de parole en public et travailler sa force de conviction.

La création de contenu et activité sur les réseaux

Mister Fanjo : Concernant l’activité sur les réseaux sociaux et site internet, est-ce vous qui gérez cette partie-là ?

Valérie Sauvage : Alors, en fait, j’ai trois sites internet, quelques chaînes YouTube entre celles du label et celles du coaching, et puis les réseaux sociaux pour chaque entreprise. C’est moi qui gère le contenu. C’est moi qui vais créer tout le contenu de la préparation jusqu’à la partie enregistrement. J’ai la chance maintenant d’avoir un cadreur qui m’accompagne, qui me suit sur les événements, et un monteur. Et ça me permet de ne pas avoir de travail après l’enregistrement. 

Ses projets à venir et sa vision pour la suite

Mister Fanjo : C’est impressionnant. Quels sont vos projets pour la suite ? Où est-ce que vous voyez dans quelques années ? Qu’est-ce que vous aimeriez faire ?

Valérie Sauvage : Mon objectif est de pouvoir impacter encore plus de personnes. J’ai la chance d’avoir un cabinet plein en termes de clientèle, que ce soit professionnel puisque j’accompagne les entrepreneurs, j’accompagne les indépendants, les entreprises, quelle que soit leur taille. J’ai de gros clients qui sont à l’international. Et puis j’ai des particuliers aussi qui viennent se réaligner, travailler leur timidité ou dépasser une épreuve de vie. Et j’adore faire ça. Et en même temps, j’ai eu la chance de monter sur la scène du Palais des Glaces au mois de juin dernier. J’ai tellement aimé ce rayonnement devant des centaines de personnes que mon objectif, c’est de faire de plus en plus de scènes. C’est d’avoir mes propres scènes, pas des scènes sur lesquelles je suis invitée parmi les conférencières et conférenciers. Et d’avoir vraiment cette activité “Max Piccinini” / “Tony Robbins” et cette chance qu’ils ont de pouvoir faire rayonner tout le travail de fond qui les a amenés là. Je suis prête à fournir ce travail et mon rêve est vraiment celui-ci.

L’accompagnement en ligne

 

Mister Fanjo : Je vous souhaite de l’accomplir. Et dans votre perspective de toucher un maximum de monde, est-ce que vous envisagez aussi de développer des info-produits ou des formations en ligne pour pouvoir scaler cette activité ?

Valérie Sauvage : Alors j’ai déjà des formations en ligne. J’ai déjà un mastermind qui s’appelle « De l’ombre à la lumière » qui fait son premier lancement. On est sur un accompagnement de quatre mois pour complètement transformer son état d’être, son état de pensée et son état de passage à l’action de manière à sortir de l’ombre pour aller vers sa lumière parce qu’on a tous certains freins, certaines peurs. On peut avoir l’impression parfois qu’on y arrivera tout seul. Et moi, j’ai expérimenté. J’ai eu la chance d’avoir des mentors qui sont des personnalités fabuleuses et qui m’ont aidé aussi à accélérer complètement la transformation et de mon business, mais aussi de mon être intérieur. Du coup, j’ai ce programme qui est en partie en ligne. Et j’ai d’autres programmes que je propose sur des temps courts ou des temps un peu plus longs. Donc, l’infoprenariat est complètement quelque chose qui est déjà dans ma réalité et qui va l’être encore plus dans les mois et l’année à venir.

Ses mentors

Mister Fanjo : Quels sont vos mentors ? 

Valérie Sauvage : Mon premier mentor, celui qui m’inspire le plus et m’accompagne le plus, c’est Paul Pyronnet, qui est le grand nom de la PNL en France et qui est mon ami depuis des années. J’ai la chance de l’avoir eu en ami avant de me former avec lui. La qualité et la finesse font que son travail et ses formations ont donné un autre envol à ma carrière. Et puis il a tellement d’avance en France sur tout ce qui se fait, sur toute la stratégie de déploiement de l’infoprenariat. C’est l’un de mes mentors. L’autre étant Olivier Roland de Blogueur Pro que vous connaissez. 

Pour consulter le travail de Valérie

Mister Fanjo : Pour les gens qui nous écoutent et qui aimeraient se renseigner et éventuellement voir ce que vous proposez, où est-ce qu’ils peuvent vous retrouver ?

Valérie Sauvage : Alors, il est possible de me retrouver sur le site challengeyourself.fr. C’est le site qui centralise l’activité de coaching et de formation. Et les entrepreneurs vont plus se retrouver sur ambitions-succès.fr parce que c’est vraiment dédié qu’à l’entrepreneuriat, à l’aventure de création d’entreprise ou de développement de son entreprise. Il faut se dire que ces deux sites mènent à moi. Je suis derrière l’écran. Quel que soit le questionnement (personnel et professionnel), l’idée est de combiner la meilleure stratégie, le meilleur coaching ou formation possible pour enfin pouvoir aller toucher ses rêves.

La rémunération

Mister Fanjo : Au niveau de votre rémunération, est-ce que vous pouvez parler un peu de vos chiffres ? Combien est-ce que vous vous rémunérez ? Combien est-ce que vous gagnez ? Combien vous rapporte chaque activité ?

Valérie Sauvage : Je ne vais pas rentrer sur le détail des chiffres. Je protège beaucoup de choses. Tout comme je ne dis jamais quand je suis en vacances pour éviter de me faire cambrioler. Je ne montre pas mes sacs ni mes chaussures et donc le chiffre, je préfère éviter d’en parler. Je pense qu’on peut l’aborder peut-être sur un tarif horaire pour montrer aussi l’évolution. Moi, je suis à 90 euros de l’heure sur mon activité de coaching sur les sujets particuliers, à 250 euros de l’heure sur l’accompagnement des entrepreneurs et j’ai la chance d’avoir un cabinet qui est bien plein. J’ai cette activité, à laquelle s’ajoute la start-up qui fonctionne en abonnement. Là, c’est du récurrent puisque chacun de nos adhérents paye chaque mois. Ce sont des abonnements annuels. C’est une combinaison de ça. Moi, j’ai trois sociétés, deux SAS et puis une micro-entreprise. Je fais le choix de vivre sur la micro-entreprise et d’investir avec les SAS, l’idée et en créant une holding dans l’année. Est-ce que ça répond assez ? Est-ce que vous voulez plus de précision ? Est-ce que vous voulez la question flash entre “est-ce que je gagne plus en tant que coach ou en tant que test de l’air ?” 

L’évolution de la rémunération : le coaching vs métier d’hôtesse de l’air

Mister Fanjo : Justement j’allais vous demander, à quel moment vous avez fait la transition ? Est-ce que la rémunération a joué un rôle dans la décision ? A quel moment êtes-vous parvenue à vivre pleinement du coaching ?

Valérie Sauvage : Au départ, avant le coaching, il y avait la startup. Mon idée était de ne surtout pas lâcher un CDI chez Air France (qui est une position plutôt sûre en termes de sécurité financière), sans avoir assuré au moins le même revenu mensuel avec la startup. Je peux parler chiffres : j’étais entre 2500€ et 3300€ en net par mois chez Air France au moment où j’ai lâché. Et puis, le coaching est arrivé tellement vite. J’ai commencé à 60 euros, puis 70, puis 80, puis 90, puis, des grosses structures m’ont sollicité et je suis passée à 250 euros. A 250 euros, il y en a parfois qui me disent que ça vaut plus et qui me payent plus que ce que je demande. Quand on atteint ça, c’est quelque chose d’énorme en termes de plaisir parce qu’on se rend compte de la valeur qu’on apporte. Déjà, on s’en rend compte parce qu’on travaille dur pour. Moi, en tout cas, je travaille énormément tous les ans pour continuer d’apporter plus de valeur. Je me suis certifiée sur cinq nouveaux sujets sur l’année 2023. C’est vraiment quelque chose qui me tient à cœur. Le côté financier, pour moi, c’était  un vrai sujet, parce l’idée n’était pas de vivre avec 1 000 euros. Je ne dis pas que ce n’est pas possible, je ne dis pas qu’on est malheureux. Mais moi, ce n’était pas du tout mon but, parce que je ne voulais pas que mon choix influence le niveau de vie de mon époux, de mes enfants. Je voulais que ça reste très confortable. J’ai la chance d’avoir un niveau de revenu qui a doublé, qui a triplé, qui est plus que confortable et qui me permet d’avoir cette chance d’adorer ce que je fais et de faire partie des quelques pourcentages de coachs qui non seulement en vivent, mais en vivent très bien.

La master class de “l’ombre à la lumière”

Mister Fanjo : Si vous voulez, on peut passer à la dernière partie, les questions rafales. Et peut-être avant, est-ce que vous voulez aborder un autre sujet, quelque chose qu’on n’aurait pas dit et qui vous tient à cœur ?

Valérie Sauvage : Si on peut refaire une petite partie sur le programme qui est mon gros morceau sur la masterclass, sur le mastermind de l’ombre à la lumière. En fait, mon idée avec la création de ce mastermind de l’ombre à la lumière. C’est vraiment de pouvoir permettre à des personnes de se sentir plus heureuses, plus épanouies, plus alignées, à la fois au niveau personnel ou professionnel, voire les deux. Et pour moi, c’est très important de prendre cette responsabilité, d’aller travailler sur ce qui peut nous faire penser à des vulnérabilités, à des failles qui, en fait, sont juste des zones à travailler et qui, quand elles sont libérées, nous amènent une ressource intérieure qui est absolument illimitée. C’est quelque chose que j’ai expérimenté, parce que je suis une ancienne timide, et quand j’en dis timide, mais introvertie au possible, je préférais être malade qu’aller faire une poésie à l’école. Et maintenant, quand je vous dis que j’aime monter sur une scène comme le Palais des Glaces et avoir 500 personnes face à moi, c’est parce que j’ai énormément travaillé sur moi. C’est parce que j’ai vu à quel point, quand on se libère, quand on dépasse ses peurs, quand on gagne en confiance en soi, quand on apprend à mieux communiquer avec soi et avec les autres, on n’a plus de limites. Tous nos rêves, quels qu’ils soient, quelles que soient les aspirations qui évoluent, on arrive à tout atteindre. La motivation est là, on sait se piloter au quotidien, tout en étant complètement aligné sur ses valeurs, sans se perdre, sans se décourager. C’est ce que j’ai envie d’offrir et c’est ce que j’offre aux premiers participants du programme qui s’appelle «De l’ombre à la lumière ». Parce que ça me semblait très parlant, qui permet de se transformer sur quatre mois et qui permet de comprendre comment on agit pour rester maître de toutes les étapes de vie qui viendront et qu’on pourra piloter soi-même de manière totalement indépendante.

Mister Fanjo : Et pour les gens qui sont intéressés par ce Mastermind, où est-ce qu’ils peuvent se renseigner, trouver vos liens ? 

Valérie Sauvage : Alors il suffit d’aller sur le site challengeyourself.fr et puis il y a une rubrique Mastermind de l’ombre à la lumière. 

Les questions rafales

Mister Fanjo : Je vous propose de passer aux questions rafales. Elles seront peut-être surprenantes. Vous pouvez prendre le temps d’y répondre ou les switcher si vous voulez. C’est comme vous voulez.

Mister Fanjo : En général, à quelle heure vous levez-vous le matin et quelle est votre première activité de la journée ?

Valérie Sauvage : 7h10, et je regarde mon téléphone. 

Mister Fanjo : Quel morceau de musique devrait-on envoyer dans l’espace si l’humanité devait disparaître ?

Valérie Sauvage : Je vous dirais un album de Phil Collins, mais s’il faut que je choisisse, je n’ai plus le titre en tête. Je vais vous dire Sia, Unstoppable. Sia Unstoppable, parce qu’en termes de motivation, je trouve que c’est extrêmement puissant.

Mister Fanjo : Quelles séries, films, documentaires ou chaînes YouTube recommanderiez-vous de regarder ?

Valérie Sauvage : Alors, je vous recommanderais de regarder ma chaîne YouTube, parce qu’elle essaie de vous apporter un maximum de valeur. Sinon, je trouve que l’approche de Paul Pyronnet est juste incroyable, qu’elle fait beaucoup de bien. J’écoute beaucoup aussi les podcasts de Gabrielle Bernstein, pour ceux qui connaissent et qui parlent anglais. Je trouve que ça fait beaucoup de bien. J’aime l’approche et la douceur de Chloé Blum, très reliée à sa féminité. Je trouve qu’en tant que femme, c’est une approche à la fois de force et d’acceptation de ses fragilités qui aide énormément. Et puis à côté de ça, comme je suis fan d’entreprenariat, je vais vous dire que dès qu’on est sur des sujets qui permettent de comprendre comment avancer et comment avoir une entreprise, au service de ces rêves qui nous permettent de rester libres et bien foncer.

Mister Fanjo : Quelle application ou logiciel utilisez-vous le plus ?

Valérie Sauvage : ChatGPT.

Mister Fanjo : Pratiquez-vous un sport ou une activité physique ? 

Valérie Sauvage : Non, malheureusement pas encore, mais c’est mon objectif 2024.

Mister Fanjo : Qu’est-ce qui vous plairait comme activité ? Vous avez une idée en tête ?

Valérie Sauvage : Je vais faire de l’entretien plutôt classique, style en salle, mais j’aime bien le pilates et j’aimerais bien essayer le yoga.

Mister Fanjo : Admettons qu’on vous donne 100 euros, dans quoi les dépenseriez-vous ?

Valérie Sauvage : Je ne suis pas sûre que je les dépenserais, je crois que je les placerais ou que j’investirais un petit morceau dans une formation qui coûterait bien plus que 100 euros. 

Mister Fanjo : Avez-vous un principe, une maxime ou une habitude que vous conseilleriez à tout le monde de suivre ?

Valérie Sauvage : Ce n’est pas un proverbe connu, mais je vais dire que penser à son bonheur, c’est l’acte le plus généreux qu’on puisse faire parce que c’est un exemple qu’on donne aussi autour de soi.

Mister Fanjo : Si vous étiez présidente et que vous aviez le pouvoir de faire aboutir n’importe quelle réforme, que changeriez-vous en priorité ? 

Valérie Sauvage : Je redonnerais à tous le goût et le plaisir du travail. 

Mister Fanjo : De quels accomplissements êtes-vous fière ?

Valérie Sauvage : D’être passée de timide à enfin heureuse et libérée dans la vie.

Mister Fanjo : Voulez-vous profiter de ce moment pour passer un message personnel ou un encouragement à un proche ? Si oui, que lui diriez-vous ?

Valérie Sauvage : À mes proches, je le fais, donc je n’en ai pas en ce moment. Par contre, à tous ceux qui nous écoutent, de surtout bien prendre soin de leurs rêves et de toujours se dire que tout est atteignable quand on fait ce qu’il faut pour, même si des fois il y a des obstacles. La victoire et la fierté n’en seront que plus belles.

Mister Fanjo : Vous avez le mot de la fin. Que voulez-vous dire pour conclure cette interview ?

Valérie Sauvage : Surtout, soyez heureux. 

Les liens vers les travaux de l’invité

► Le site challengeyourself.fr

► Le site de la start-up – Le label Artisan de confiance

► Le livre – Devenir le profil irrésistible (lien affilié)  

Consulter de nouvelles interviews 

Consultez la page du projet

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *