Les 12 travaux d’Héraclès

Mythologie grecque : Que sont les 12 travaux d’Héraclès ?

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Les 12 travaux d’Héraclès

Héraclès (aussi appelé Hercule dans la mythologie romaine) est le fils de Zeus et d’Alcmène. Il est l’un des héros les plus vénérés de la Grèce antique. La mythologie grecque lui prête un très grand nombre d’aventures, dont les plus célèbres de ses exploits sont les douze travaux. 

L’épopée débute après qu’Héraclès ait tué sa femme Mégara et ses fils d’un coup de folie. Il consulta une prophétesse la Pythie pour savoir comment expier sa faute. Elle exigea qu’il se mette au service de son ennemi : Eurysthée. Ce dernier lui ordonna, à son tour, d’accomplir plusieurs tâches : 12 travaux.

1/ Vaincre le lion de Némée

La première tâche consista à vaincre Le lion de Némée qui terrorisait les habitants de la région du même nom. Héraclès parvint à terrasser la bête en l’étouffant et ramena sa dépouille auprès Eurysthée.

2/ Tuer l’hydre de Lerne 

Hercule se rendit dans le marais de Lerne pour affronter le monstre, un serpent d’eau à plusieurs têtes. Il ne réussit à le vaincre qu’avec l’aide d’un de ses plus fidèles compagnons Loloas.

3 / Capturer la biche de Cérynie

La créature aux cornes d’or était réputée pour sa vitesse extraordinaire. Le héros la poursuivit pendant un an jusqu’à ce qu’elle s’épuise. Il put alors l’immobiliser en lui décochant une flèche entre l’os et le tendon de la patte. Il chargea l’animal sur ses épaules et revint chez Eurysthée.

4 / Ramener vivant l’énorme sanglier d’Erymanthe

Héraclès pourchassa la bête gigantesque durant l’hiver. Après l’avoir fait sortir de sa tanière grâce à des cris, il la coursa à travers la montagne. Harcelé et épuisé, le sanglier tomba dans un trou creusé par Héraclès pour le piéger. Le héros put ainsi maîtriser et enchaîner la bête. 

5 / Nettoyer les écuries d’Augias,

Augias, le souverain du royaume de l’Élide, possédait de gigantesques écuries pour ses animaux qui n’avaient jamais été nettoyées. Héraclès les décrassa en détournant les eaux du fleuve Alphée. Une fois les écuries propres, il détruisit les dérivations construites et laissa le soleil sécher les bâtiments.

6 / Tuer les oiseaux du lac Stymphale aux plumes d’airain.

Après les avoir débusqué, Héraclès essaya de les tuer avec ses flèches mais n’y parvint pas car ils étaient trop nombreux. Il prit alors son épée et la frappa contre son bouclier pour faire fuir les oiseaux. Il continua jusqu’à ce que tous les animaux tombèrent d’épuisement dans le lac et se noyèrent. 

7 / Dompter le taureau crétois de Minos

Cette créature, offerte par Poséidon pour être sacrifiée, fut épargnée par le roi Minos. Poséidon se vengea en rendant le taureau furieux et en lui faisant dévaster les terres de Crète. Héraclès parvint à le capturer en sautant sur lui et en le saisissant par les cornes. Il revint en Grèce sur le dos de l’animal.

8 / Capturer les cavales de Diomède

Les cavales sont des juments carnivores que le roi de Thrace, Diomède, nourrissait avec la chair de ses hôtes. Selon une version de la légende, Héraclès assomma le roi et jetta son corps aux cavales. Elles devinrent alors dociles et Héraclès put les mener à Eurysthée.

9 / Rapporter la ceinture d’Hippolyte

Hippolyte était la reine des Amazones. Selon une des versions du mythe, alors qu’Héraclès allait s’emparer de la ceinture, la déesse Héra sema la panique, le héros tua Hippolyte et il s’en alla avec la ceinture.

10 / Vaincre le géant Géryon, et voler son troupeau de bœufs.

Après avoir tué Orthros (le chien à deux têtes de Gyréon) d’un seul coup de massue, Héraclès combattit  le géant à trois têtes. Il le tua grâce à  une flèche empoisonnée avec venin de l’Hydre. Il déroba ensuite ses bœufs et les ramena à Eurysthée.

11 / Rapporter les pommes d’or du jardin des Hespérides 

Les fruits du verger étaient gardés par Ladon un dragon à cent têtes. Ne pouvant se rendre dans le jardin, le héros sollicita l’aide du titan Atlas. Ce dernier lui proposa de lui rapporter les pommes, seulement si Héraclès le remplaçait pour porter le fardeau de la voûte céleste à sa place. Héraclès accepta. 

De retour avec les fruits d’or à la main. Héraclès utilisa une ruse pour piéger le titan. Il lui demanda de reprendre le poids du ciel pour quelques instants, le temps de trouver une meilleure position. Atlas posa les fruits et reprit la voûte céleste en toute confiance. Il surprit alors Héraclès ramasser les pommes d’or et s’éloigner.

12 / Descendre aux Enfers et enchaîner Cerbère

Ce chien à trois têtes gardait l’entrée du royaume des enfers d’Hadès. Héraclès rejoignit ce royaume des morts en traversant le Styx. Arrivé devant le trône d’Hadès, il se battit au corps à corps avec le maître des Enfers. Une fois vaincu, il se présenta devant Cerbère pour l’affronter. Il parvint à le saisir le cou, et, quoique mordu, le serra si fort que le chien, sentant la mort venir, se décida à suivre le héros. Héraclès enchaîna l’animal, le tira hors de la caverne et vint le montrer à Eurysthée. C’est ainsi que le héros termina ses 12 travaux et forgea sa légende.

On peut noter qu’il existe plusieurs versions autour de ce mythe. Quoiqu’il en soit, Héraclès est l’un des héros les plus célèbres de la mythologie grecque.

Sources

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Le conformisme social – Expérience de Asch 

Qu’est ce que le conformisme social et l’expérience de Asch ?

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L’expérience de Asch

Avez-vous déjà été influencé par l’effet de groupe ?

    • Attendre derrière une caisse bondée sans oser aller à celle qui est libre juste à côté
    • Se mettre à courir en imitant une foule sans trop savoir pourquoi
    • Ne pas oser rentrer dans une pièce car plusieurs personnes attendent devant la porte

La tendance à se conformer au comportement du groupe a été étudiée par le psychologue Solomon Asch. Dans une expérience, publiée en 1956, il démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d’un individu au sein d’un groupe.

Le protocole

Un groupe d’étudiants était invité à participer à un prétendu test de vision. L’examinateur demandait aux sujets de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d’affiches. L’exercice (très simple) consistait à identifier laquelle des 3 lignes de droite avait la même longueur que la ligne “témoin” de gauche. Les participants donnaient leur réponse à tour de rôle.

Il faut noter que seul l’avant dernier participant du groupe était le sujet de l’étude. Les autres étaient des complices de l’expérimentateur. Leur rôle était de donner une mauvaise réponse à chaque fois.

L’objectif était d’analyser comment le sujet allait réagir en constatant que le groupe n’était pas du même avis.

Les résultats

L’expérience a montré que 37 % des sujets finissaient par se conformer aux mauvaises réponses soutenues à l’unanimité par les complices.

Pourtant, lors de l’expérience témoin, les sujets indiquaient constamment les bonnes réponses lorsqu’ils faisaient le même exercice seul face à l’examinateur.

L’expérience fut réitérée à de nombreuses reprises et avec des variantes différentes :

    • faire répondre le sujet en premier
    • demander à un des complices de donner de bonnes réponses
    • faire l’exercice par écrit
    • Réduire le groupe à deux participants
    • etc…

Les résultats de l’expérience de Asch ont montré que dans la plupart des situations les sujets répondaient correctement, excepté lorsqu’ils devaient soutenir des réponses qui allaient à l’encontre de l’avis unanime d’un groupe. Dans ces cas, ils avaient tendance à se conformer à l’avis de ce dernier même si la réponse donnée n’était pas cohérente.

Mimétisme de la foule – Effet témoin

L’expérience de Asch fait écho à un biais comportemental :  celui du mimétisme de la foule ou le comportement moutonnier. Nous avons tendance à nous comporter comme les gens qui nous entourent.

Il s’agit du mécanisme qui explique les mouvements de foules ou encore les effets modes (s’habiller comme tout le monde pour être dans le moule). Ce mimétisme peut s’expliquer par divers facteurs. D’une part, nous essayons de nous conformer au comportement du groupe pour ne pas être perçu comme différent et ainsi ne pas prendre le risque d’être rejeté. D’autre part, le mimétisme est un comportement de défense naturel, inné et utile à notre espèce. Par exemple, si j’aperçois des individus affolés courir dans la direction opposée, j’ai tout intérêt à faire de même car peut-être sont-ils en train de fuir un danger que je ne vois pas encore.

En parallèle, le mimétisme peut aussi expliquer pourquoi dans certains cas une foule peut ne pas porter assistance à une personne en danger. Dans une situation inhabituelle, les gens cherchent la manière de réagir en scrutant les autres. Or si tout le monde s’observe et que personne n’agit, on tombe dans un état de passivité général.  C’est ce que l’on appelle l’effet témoin ou effet du spectateur.

Si l’on est victime de ce genre de situation, l’astuce est de ne pas s’adresser à la foule pour demander de l’aide, mais plutôt de cibler une personne précise. Dès qu’on donne la responsabilité d’action à un individu, il se détache généralement du comportement du groupe. Ainsi, le pouvoir du mimétisme s’atténue et d’autres individus commenceront à agir à leur tour.

Conclusion

L’expérience de Asch démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d’un individu au sein d’un groupe. Nous nous comportons naturellement comme les personnes qui nous entourent.

Sources 

Articles

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Le biais du survivant

Qu’est ce que le biais du survivant ? Quel enseignement peut-on en tirer ?

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Le biais du survivant – Définition

D’après la définition de Wikipedia, Le biais du survivant est une forme de biais de sélection consistant à surévaluer les chances de succès d’une initiative en concentrant l’attention sur les sujets ayant réussi mais qui sont des exceptions statistiques (des « survivants ») plutôt que des cas représentatifs.

Illustrons ce concept par un exemple historique datant de la Seconde Guerre mondiale.

Les bombardiers de la Seconde Guerre Mondiale

Au cours du conflit, un grand nombre de bombardiers étaient détruits en opération. Une étude a été menée  pour essayer de minimiser leur perte. Une équipe a étudié les dommages reçus par les avions rentrés de mission. Ils ont constaté que la majorité des impacts étaient localisés à l’extrémité des ailes, sur la queue et à la jonction entre le fuselage et les ailes. 

Ces résultats leur ont permis de déterminer les zones à protéger par un blindage pour maximiser les chances de retour des bombardiers. 

A leur place, où aurriez-vous placé ce blindage sachant qu’il est impossible de le positionner sur toute la surface car l’avion serait trop lourd ?

Contre intuitivement, il faut protéger les zones qui ont reçu le moins d’impacts. En effet, les données proviennent des bombardiers qui ont « survécu ». L’étude montre donc les dommages mineurs qui peuvent être encaissés par les avions. On peut supposer que les zones sans impacts correspondent aux éléments endommagés sur les appareils qui ne sont pas revenus. Ce sont donc les zones sensibles à protéger.

Finalement, le biais du survivant, c’est considérer les données relatives aux éléments qui ont réussi mais qui ne sont pas forcément représentatifs.

Exemples de biais du survivant

Tomber dans le piège de ce biais c’est dire par exemple :

    • “Les constructions architecturales de nos ancêtres semblaient plus solides que les nôtres au regard des édifices qui ont traversé les âges”. C’est oublier toutes les nombreuses autres constructions qui n’ont pas survécu à l’épreuve du temps.
    • “Les musiques des décennies passées sont meilleures que les musiques actuelles car elles ont eu majoritairement plus de succès que la plupart des tubes actuels”. Il ne faut pas oublier toutes les anciennes musiques qui ont eu un succès limité et qui ne sont pas parvenues à nos oreilles.
    • “Chercher les secrets de longévité des centenaires en s’intéressant à leurs habitudes de vie”, sans considérer les mauvaises habitudes de toutes les personnes qui n’ont pas vécu jusqu’à 100 ans. 

Bref, le biais du survivant est la tendance à considérer les données relatives aux éléments qui ont réussi mais qui ne sont pas forcément représentatifs.

L’ enseignement

A ce propos, on peut constater que l’on trouve énormément de livres, d’articles, de reportages sur des success stories, de grands accomplissements, ou encore sur les secrets des meilleurs … . mais sont-ils vraiment représentatifs ? N’y-a-t-il pas plus de perdants que de gagnants ? N’a-t-on pas tendance à tomber dans le biais du survivant en sur-médiatisant les réussites et en ne s’intéressant pas aux échecs ? 

Je crois que l’un des enseignements que l’on peut tirer de ce biais est qu’en plus de s’intéresser aux gagnants, il ne faut pas oublier d’enquêter sur les perdants. 

Sources 

Articles

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CVG #7 : Présentation du projet P07

Qu’est-ce que le projet P07 ?

Vidéo de présentation

 

Le projet P07  a pour but de vulgariser des expériences sociologiques, des études comportementales ou encore des concepts psychologiques,… puis de dégager les enseignements que l’on peut en tirer.

 

Par exemple, les sujets traités sont :

  • l’expérience de Milgram qui porte sur la soumission à l’autorité
  • la pyramide de Maslow qui théorise les besoins humains
  • les leçons que l’on peut tirer de l’expérience de Pavlov
  • les enseignements sur la productivité révélés par le principe de Pareto ou la loi de Parkinson

 

Le contenu paraîtra régulièrement sur Youtube et sur mon site (en parallèle des autres projets). Je vous invite vivement à me faire part de vos remarques, critiques et suggestions par mail ou dans les commentaires des vidéos. J’essaierai de m’appuyer sur vos retours pour améliorer la qualité du contenu et traiter les sujets dont vous en ferez la demande.  

 

Pour résumer, l’objectif du projet P07 est de partager des clés pour mieux comprendre nos comportements et éviter de tomber dans certains biais cognitifs.

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Le vent (vulgarisation)

Comment se forme le vent ? Comment expliquer la différence entre une brise et une bourrasque ?… Bref, qu’est-ce que le vent ?

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La mécanique du vent

Le vent est simplement le mouvement d’une masse de gaz lié à des différences de température et de pression.

A l’échelle de la planète, le soleil réchauffe l’atmosphère de manière inégale :

  • Les rayons réchauffent davantage les territoires équatoriaux que les pôles. 
  • Les zones continentales sont davantage chauffées que les océans
  • Les surfaces désertiques stockent plus la chaleur que les zones montagneuses

Bref, la température de l’air dans l’atmosphère est irrégulière.

Les masses d’air chaudes, moins denses et plus légères que les masses froides, tendent à s’élever dans l’atmosphère. Elles engendrent des zone de dépression. A l’inverse les masses d’air froides plus denses retombent et génèrent des zones de haute pression aussi appelées anticyclone.

Du fait qu’un fluide tend à rétablir une pression homogène, l’air quitte les zones de hautes pression pour se diriger vers les zones de dépression. Couplé à la rotation de la Terre, cette mécanique engendre de grands mouvements d’air : du vent.

La complexité du modèle

On peut noter que la circulation des masses d’air est un modèle relativement complexe puisqu’il faut aussi prendre toutes particularités géographiques locales. En effet, le relief, les disparités de surfaces, les phénomènes locaux… influent aussi sur la température et la pression des masse d’air et donc in-fine sur ses déplacements.

Par exemple, une chaîne de montagne perturbe le flux d’air. Un champ réfléchit davantage les rayons du soleil qu’une étendue d’eau et donc chauffe davantage l’air à son contact.. Etc 

Toutes ces caractéristique et phénomènes expliquent les disparités météorologiques. La France peut être sous l’effet du même anticyclone pourtant il peut y avoir des bourrasques sur la côte bretonne, et pas une brise à Paris. 

Quoiqu’il en soit, on peut noter que plus les écarts de températures et de pressions entre les masses d’air sont grands plus les déplacements d’air sont importants.

5 faits sur le vent

  • L’échelle de Beaufort (qui doit son nom à un amiral du même nom) permet de classer le vent selon ses caractéristiques notamment sa vitesse et de ses effets.
  • Sur Terre, le vent le plus violent mesuré par une station météorologique est de 408 km/h. Il est survenu à Barrow Island en Australie, le 10 avril 1996. En parallèle, un radar météorologique Doppler mobile a détecté des vents de 484 km/h +/- 32 km/h (à cause des imprécisions de mesure) dans une tornade près de Bridge Creek en 1999.
  • Les bourrasques les plus puissantes dans le système solaire ont été mesurées sur Neptune et Saturne avec respectivement 1800 km/h et 2500 km/h. 
  • Le sens de rotation des grands vents diffère selon l’hémisphère, à cause de la force de Coriolis induit par la rotation de la Terre. Les vents dominants dans l’hémisphère nord se déplacent dans le sens horaire et dans le sens anti-horaire pour l’hémisphère sud.
  • Le vent est l’acteur principal de l’oxygénation des océans et des lacs. En agitant leur surface, il crée des courants et permet le déplacement de nombreux agents organiques et minéraux. 

Conclusion

Le vent correspond à un mouvement d’une masse de gaz lié à des différences de température et de pression. Sur terre le déplacement de la masse d’air est principalement dû à la rotation de la Terre et aux rayons du soleil qui réchauffent inégalement l’atmosphère.

Sources

Articles

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CVG #6 : Bilan 2019

Voici mon bilan sur le projet Mister Fanjo pour l’année 2019.

Sommaire

  • Quelques chiffres sur l’année 2019 (trafic, bilan financier…)
  • Retour sur les objectifs que je m’étais fixés au début de l’année
  • Quelques enseignements et moments forts sur l’année 2019
  • Mes objectifs pour l’année 2020

Vidéo

Quelques chiffres sur 2019

16 vidéos postées en 2019

Cette année, j’ai réalisé 16 vidéos :

500 Abonnés

Le trafic sur ma chaîne a augmenté. Je suis passé d’une centaine d’abonnés à un peu plus de 550 actuellement. Au début d’année, je comptabilisais un total de 10 000 vues sur ma chaîne. Aujourd’hui, j’en cumule un peu plus de 50 000.

Bilan financier du projet

Concernant le bilan financier du projet, j’ai dépensé environ 220€ cette année:

  • 90€ pour des livres
  • 55€ pour le nom de domaine et l’hébergement du site.
  • 70€ pour un nouveau micro et un filtre anti-pop

270h de travail

J’ai consacré environ 270h au projet Mister cette année. Cela représente environ 45min de travail tous les jours.

Retour sur les objectifs de 2019

Je m’étais fixé 5 objectifs pour 2019 :

  • Continuer à poster un résumé de livre par mois sur le projet P04
  • Mettre en ligne 2 projets supplémentaires et au moins 2 mini-projets
  • Poster une vidéo CVG lors de la parution de chaque nouveau projet pour présenter le projet, pour expliquer ma démarche, le pourquoi du projet ainsi que l’envers du décor
  • Rester fidèle aux règles d’or
  • Créer une page « sondage » sur mon site internet pour lister mes idées et les projets que j’entreprends et vous permettre de voter pour ceux pour lesquels vous aimeriez voir du contenu paraître. 

Le premier objectif est rempli puisque je suis parvenu à poster un résumé de livre par mois.

Les deuxième et troisième objectifs sont partiellement atteints. J’ai posté 3 mini-projets, mais aucun nouveau projet. Le quatrième objectif est rempli puisque je pense être resté fidèle à mes 6 règles d’or en 2019. Enfin, j’ai mis en place un sondage dont je vais vous reparler.

 

Moments forts et enseignements de 2019

Projets en cours

En 2019, j’ai travaillé sur plusieurs projets :

  • Projet “Développement personnel”. Je suis en train de préparer plusieurs vidéos et articles sur du “développement personnel”. Il s’agit de partager des méthodologies, des astuces et des principes que j’applique personnellement dans les domaines des finances, de la productivité… . Par exemple, je compte présenter une stratégie et des astuces pour gérer et investir son argent, des techniques pour gagner du temps et être plus productif, des astuces de communication ….
  • Je suis en train de préparer le marathon de Paris 2020. Je pense réaliser quelques vidéos sur le sujet.
  • Création d’un jeu de société. Je développe également un jeu de société. Pour l’instant, je teste régulièrement plusieurs versions afin d’aboutir à un concept structuré et fonctionnel. Je compte également poster du contenu en rapport avec ce projet sur ma chaîne.

Les premiers euros grâce à l’affiliation

En deuxième point, je voulais revenir sur un moment fort de l’année. Il s’agit du moment où j’ai touché mes premiers euros grâce à l’affiliation. J’ai touché seulement 2€,mais j’étais tout de même super fier d’être parvenu à monétiser mon travail. Je créerai une vidéo plus détaillée sur le processus d’affiliation courant 2020.

Remerciement

Je voulais vous remercier, car vous êtes de plus en plus nombreux à vous abonner à la chaîne, à laisser des mentions « j’aime » et des commentaires ! Ça me fait plaisir de constater que mon travail vous plait. À ce propos, n’hésitez pas à me faire part de vos remarques, suggestions et critiques par mail, dans la partie commentaire des vidéos ou maintenant via un formulaire.

Un formulaire pour donner votre avis

Ce formulaire contient 5 questions auxquelles vous pouvez répondre pour m’aider à développer la chaîne et son contenu. Dans ce questionnaire, je vous invite par exemple à m’indiquer quel contenu vous préférez, si vous aimeriez voir des vidéos sur un sujet particulier, etc. … .

lien pour recevoir le lien du formulaire par mail

Objectifs pour 2020

  • Atteindre 1000 abonnées
  • Poster au minimum une vidéo tous les mois
  • Diffuser le contenu sur le projet “développement personnel”
  • Diffuser du contenu sur le marathon
  • Poster un mini-projet tous les semestres, car je prends beaucoup de plaisir à les réaliser
  • Respecter les règles d’or que je me suis fixées.

Bonne année 2020 !

Signé Mister Fanjo,

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Le fonctionnement d’une centrale nucléaire

Le fonctionnement d’une centrale nucléaire

Comment fonctionne une centrale nucléaire ?

Vidéo

Une centrale nucléaire produit de l’électricité en utilisant l’énergie thermique libérée lors de la réaction nucléaire. 3 circuits d’eau fermés et plusieurs dispositifs assurent le transport et la transformation de l’énergie, jusqu’à la mise à disposition sur le réseau électrique.

Le cœur du réacteur

Piscine d’entreposage du bâtiment combustible du réacteur n°1 de la centrale du Blayais

Tout débute dans le cœur du réacteur. Les agents de la centrale y amorcent, modèrent et contrôlent une fission nucléaire :

La fission nucléaire consiste à projeter un neutron à très grande vitesse sur des atomes lourds et fissibles comme l’uranium 235 ou le plutonium 239. Lors l’impact avec le neutron, l’atome de plutonium ou d’uranium se rompe et libère une grande quantité de chaleur. De plus, lorsque l’atome se fractionne, il libère d’autres neutrons qui vont à leur tour percuter d’autres atomes…ainsi de suite.

Il se produit une réaction en chaine qui libère une grande quantité d’énergie. C’est cette réaction que contrôlent et modèrent les agents de la centrale nucléaire. Pour ce faire, ils utilisent notamment des matériaux absorbants comme du bore. Quoi qu’il en soit, l’énergie thermique libérée lors de la fission nucléaire est captée et transportée par un fluide caloporteur (généralement de l’eau) par l’intermédiaire du circuit primaire.

Le circuit primaire

Dans le circuit primaire, l’eau est chauffée à environ 300°C et reste liquide sous l’effet d’un pressuriseur. Elle traverse ensuite un échangeur thermique dans lequel une partie de l’énergie calorifique est transférée vers un circuit secondaire. En fait, le fluide du circuit secondaire se gazéifie et monte en pression au contact de tubes dans lesquels circule l’eau provenant du cœur de réacteur.

Une fois l’échangeur franchi, l’eau du circuit primaire est réacheminée au niveau du cœur du réacteur où elle est de nouveau chauffée et où elle recommence le cycle. Le circuit primaire et ses dispositifs associés sont abrités dans un bâtiment étanche, construit en béton précontraint et isolé des autres infrastructures.

Le circuit secondaire

Dans le circuit secondaire,  la vapeur d’eau créée dans l’échangeur est acheminée jusqu’à des turbines. La pression du fluide actionne ces turbines qui entraînent, à leur tour, un alternateur qui produit de l’électricité grâce à des électroaimants. L’énergie thermique de l’eau se transforme ainsi en énergie mécanique (rotation de la turbine) qui se transforme enfin en électricité (via alternateur). L’électricité créée est injectée dans le réseau électrique par l’intermédiaire de transformateurs.

Après être passée dans la turbine, la vapeur d’eau du circuit secondaire est acheminée dans un condenseur où elle redevient liquide en étant refroidie par le circuit tertiaire. Elle revient ensuite à l’échangeur et recommence le cycle.

Le circuit tertiaire

L’eau du circuit tertiaire est puisée dans les sources d’eau aux abords de la centrale, comme les cours d’eau ou la mer. Elle sert à refroidir l’eau du circuit secondaire grâce à l‘échange de chaleur dans le condenseur. L’eau du circuit tertiaire est ensuite refroidie avant d’être relâchée dans la nature notamment grâce aux tours aéroréfrigérantes.

Résumé

Pour résumer, une centrale nucléaire produit de l’électricité en utilisant l’énergie thermique libérée lors de la fission nucléaire. Le circuit primaire récupère la chaleur de la réaction et la transmet au fluide du circuit secondaire par l’intermédiaire d’un échangeur. L’énergie calorifique du circuit secondaire est transformée en énergie électrique par des turbines et des alternateurs, puis elle est injectée dans le réseau électrique. L’eau du circuit tertiaire refroidit l’eau du circuit secondaire.

Compléments

Nucléaire et production d‘énergie

En France, le nucléaire représente la première source de production et de consommation d’électricité. Environ 70% de la production électrique française provient du nucléaire. L’énergie nucléaire est relativement bon marché.

 

Écologie et gestion des déchets radioactifs

Le nucléaire peut être assimilé à une énergie propre, car il a une emprunte carbone faible. Néanmoins, il peut représenter de graves dangers écologiques notamment à cause des déchets radioactifs qu’il génère. À forte dose, la radioactivité a des effets néfastes sur les organismes vivants. Les déchets radioactifs constituent donc un risque pour la santé et l’environnement s’ils sont rejetés dans la nature. Actuellement, ils sont conditionnés dans des « contenants » en béton et/ou métal pour que les radiations ne s’en échappent pas. Les solutions de stockage seraient conçues pour résister à l’épreuve du temps et limiter l’impact en cas de défaut du composant de stockage.

Les catastrophes nucléaires majeures

Dans l’histoire, il s’est produit 2 incidents nucléaires majeurs.

Catastrophe nucléaire de Fukushima

L’incident le plus récent date de 2011. Il s’agit de la détérioration de la centrale de Fukushima au Japon. Un tsunami consécutif à un séisme a mis le système de refroidissement principal hors service ce qui a entraîné la fusion des cœurs des réacteurs.

Catastrophe nucléaire de FukushimaL’autre incident nucléaire de grande ampleur est l’explosion de la centrale de Tchernobyl en Ukraine en 1986. Suite à plusieurs erreurs humaines, le cœur du réacteur est rentré en fusion ce qui a provoqué la libération d’importantes quantités d’éléments radioactifs dans l’atmosphère. Pour plus d’information sur le sujet, je vous recommande l’excellente série d’HBO : Chernobyl. Elle retrace l’histoire de la catastrophe et la gestion de crise qui s’en est suivi.

Aujourd’hui les zones aux abords de ces 2 centrales sont encore hautement radioactives et interdites d’accès. Chose incroyable, depuis que l’homme la quitter les terres proches de Tchernobyl, la faune et la flore ont repris possession des lieux malgré la radioactivité,

Sources

Articles

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4 conseils pour améliorer la qualité audio d’une vidéo

4 Conseils pour améliorer l’audio des vidéos

Comment améliorer la qualité audio d’une vidéo ?

Vidéo

Enregistrer dans un endroit calme

 

Ça peut paraître évident, mais il vaut mieux avoir un enregistrement propre dès le début plutôt que d’essayer de rattraper les bruits parasites au montage.

Utiliser un micro de qualité pour l’enregistrement

Enregistrement avec un micro-cravate à 10€ :

Enregistrement avec un micro Bird UM1 à 50€ (lien affilié) :

Je l’ai appris à mes dépens. Pour l’interview de Robert Carrière, j’avais acheté 2 micros-cravates à 10€ que j’utilisais pour faire tous mes enregistrements audio. Résultat, le son n’était pas terrible. J’ai donc investi dans un micro de meilleure qualité. Le résultat est sans équivoque. Jugez par vous-même.

Au moment où j’écris cet article, j’utilise un micro Bird UM1 (lien affilié). J’ai choisi cet appareil, car il est conseillé par plusieurs YouTuber et il est à un très bon rapport qualité/prix.

Améliorer le son avec des traitements

Enregistrement sans traitement audio :

Enregistrement avec traitement audio :

Pour ce faire, j’utilise le logiciel Audacity. Il permet de faire une multitude de traitements sur une piste audio. Pour ma part, j’en effectue 3 :

Réduction du bruit

Cette opération permet d’atténuer les sons ambiants parasites enregistrés lors de la prise de son et surtout de supprimer ce bruit

Compresseur

Ce traitement contribue à améliorer le son pour le rendre plus fort, plus plein ou plus clair sans augmenter le volume de la piste. Grosso modo, la compression réduit la dynamique du signal en modulant le rapport entre les amplitudes maximales et minimales.

Normalisation

La normalisation audio consiste à augmenter ou diminuer l’amplitude des signaux d’un enregistrement afin que le volume soit constant sur toute la durée.

Utiliser un fond musical

 

Le fond musical permet de dynamiser la vidéo. Il contribue à créer une ambiance et meubler les blancs.

Sources

Vidéos

Blogs et Articles

MP10 : La formation des orages et des éclairs

La formation des orages et des éclairs

Comment se forment les orages et les éclairs ?

La vidéo

La formation des cumulonimbus

Un nuage se forme grâce à des processus d’évaporation et de condensation. Par l’effet de la chaleur, la vapeur d’eau à la surface de la Terre s’élève dans l’air et se condense autour de petites particules en suspension. Des micro-gouttelettes sont ainsi formées. Un nuage correspond à une agglomération de micro-gouttelettes.

Il existe de nombreux types de nuage avec des caractéristiques bien différentes. Les nuages qui nous intéressent ici sont les cumulonimbus (les nuages d’orage).

Types de nuages

Les cumulonimbus se forment généralement lorsque l’air en surface est très chaud et humide et que l’atmosphère en altitude est froide et sèche. Comme nous venons de le décrire, l’humidité au sol s’élève et alimente abondamment le nuage en eau. Le nuage croit verticalement et son volume augmente. Les plus gros cumulonimbus peuvent atteindre le plafond de la troposphère à 15km d’altitude. À partir de cette hauteur, le nuage s’étend horizontalement.

Cumulonimbus

L’électrisation du nuage

Pendant la croissance du cumulonimbus, le frottement des courants chauds ascendants et des courants froids descendants provoque son électrisation. En fait, les particules en mouvement dans le nuage échangent des électrons lorsqu’elles entrent en collision. Les particules des courants descendants captent des électrons aux particules ascendantes. Ce phénomène crée une différence de potentiel dans le nuage, puisqu’il y a un excès de charges négatives (=les électrons) à la base du nuage et un déficit au sommet.

Échange d’electron  lors du frottement des courants ascendants et descendants

Un phénomène similaire se produit sous le nuage. La masse d’électrons repousse les électrons à la surface du sol, car deux charges de même signe se repoussent. On retrouve donc une autre différence de potentiel entre le sol et la base du nuage.

Électrisation du nuage

La formation des éclairs

Lorsque la différence de potentiel devient trop importante, il va se produire une décharge.  Les électrons en excès fendent l’air et rejoignent les zones où il y en manque. Ce déplacement d’électrons correspond à un arc électrique : l’éclair. Lors de cette décharge, l’air chauffe brusquement, se dilate et provoque une détonation sonore : le tonnerre. La foudre est le nom donné aux éclairs qui touchent le sol ou les objets.

Couleurs des éclairs

En fait, la teinte des éclairs peut varier en fonction de la composition de l’air.

  • Si un éclair a des teintes jaunes, l’atmosphère environnante est généralement composée de poussière
  • Si l’éclair est rouge/violet, l’atmosphère est chargée en eau.
  • En cas de grêle, l’éclair a des teintes bleues.
  • Et si l’air est sec, l’éclair est blanc.

La dissipation de l’orage

L’activité électrique d’un cumulonimbus s’estompe au fur et à mesure que le frottement des courants s’atténue et que les zones du nuage se déchargent. Les précipitations, la tombée de la nuit ou le déplacement du nuage au-dessus d’une zone plus froide contribuent à réduire l’activité orageuse, car ces facteurs induisent une chute de la température au niveau du sol ce qui réduit la force des courants ascendants et donc atténue le phénomène d’électrisation. En même temps que l’activité électrique se dissipe, la masse d’eau accumulée dans le cumulonimbus retombe sous forme de précipitations.

Sources

CVG #5 : Présentation du projet (version 2019)

Présentation du projet Mister Fanjo (version 2019)

Ce projet consiste à essayer de mettre en place un style vie qui me permettrait de

  • gagner de l’argent grâce à mes projets personnels.
  • Dissocier mes revenus de mon temps de travail
  • développer un emploi du temps modulable

Pour expliquer ce qui se cache derrière ces aspirations, je vais tout d’abord présenter la réflexion à l’origine du projet. Ensuite, je clarifierai mes objectifs et les grandes lignes du plan d’action.

La réflexion à l’origine du projet Mister Fanjo

Le projet Mister Fanjo est naît d’une réflexion sur le monde professionnel. Personnellement, j’exerce un métier sans être passionné par ce que je fais. Néanmoins, je suis loin d’être malheureux, car l’argent que je gagne me permet de vivre confortablement et de financer mon quotidien et mes projets. Je dirais plutôt que cette situation me frustre, car j’ai l’impression de gâcher une partie de mon temps. Pourquoi attendre le soir ou le WE pour faire ce que j’aime ?

Pour vaincre cette insatisfaction, une des solutions serait d’exercer un métier qui me passionne. Ainsi je ferais ce que j’aime tout en étant rémunéré. Mais, je ne parviens pas à trouver une profession qui correspond à ce que j’aime faire. Pourquoi ?! Parce que les activités qui m’animent sont des choses du quotidien qui n’ont presque rien à voir avec un métier. J’aime : disputer une partie d’échecs, faire de la boxe, me baigner dans les vagues, jouer à des jeux vidéo et des jeux de société, faire du karting, cuisiner, découvrir de nouvelles disciplines, passer du temps avec ma famille et mes amis… . Bref, rien de tout ça ne correspond concrètement à une activité professionnelle.

Bien sûr, il existe des métiers qui regroupent certaines des activités que j’apprécie ou qui requièrent des savoir-faire similaires. … mais, elles ne correspondent toujours pas à ce que je recherche. En effet, je ne souhaite pas consacrer la majorité de mon temps à exercer la même profession, presque tous les jours, toutes les semaines et pendant plusieurs années. Comment faire si je me réveille un matin avec l’envie de partir en forêt pour faire du vélo. Si le lendemain je souhaite aider un ami à démanger, si le surlendemain j’ai besoin de travailler 2 jours sur un projet d’investissement immobilier, si dans un mois je veux faire MNS sur les plages et que dans 2 mois j’ai prévu un voyage de 3 semaines à Tahiti en couple ?

Ce que je veux exprimer par là est que je crois mon épanouissement professionnel et personnel, est lié au fait de gagner ma vie, en faisant ce que j’aime tout en étant libre de m’organiser. Malheureusement pour moi, je crois aussi qu’il n’existe aucun  métier qui me permette de trouver une synergie entre les activités qui me passionnent, ma liberté d’organisation et ma rémunération.

Mais dans le fond, pourquoi ne pas essayer de créer le métier de mes rêves. Pourquoi ne pas essayer de mettre en place un système qui me permettrait, à la fois, de :

  • Réaliser les activités et projets qui me tiennent à cœur
  • Être libre d’organiser mes journées comme je l’entends
  • Avoir suffisamment d’argent pour financer mon quotidien et mes projets

C’est cette idée que j’essaye de concrétiser à travers le projet Mister Fanjo. Pour l’instant, j’expérimente, j’affine mes réflexions, je clarifie ma vision, mes objectifs et j’essaye de mettre en place un plan d’action.

Les objectifs du projet Mister Fanjo

Actuellement, mon cap pointe vers 3 objectifs complémentaires.

Tout d’abord, j’essaye de gagner de l’argent grâce à mes projets personnels. Aujourd’hui, je tire ma rémunération d’un emploi qui n’est pas en adéquation avec ce qui me plait. Demain, je préfèrerais gagner de l’argent en réalisant les projets et les activités qui m’animent.

Deuxièmement, j’essaye d’organiser mon emploi du temps en fonction de mes envies du quotidien et de mes choix de vie. Je ne veux pas d’une vie qui soit dictée par mon travail. Aujourd’hui, j’ai des horaires fixes, 5 jours par semaine, 8h par jour qui me contraignent à organiser les activités qui comptent vraiment sur les plages horaires qu’il me reste. Demain, j’aimerais avoir un emploi du temps plus modulable qui me permettrait d’intercaler les réunions et les rendez-vous en fonction de mes projets personnels et des engagements que je dois respecter.

Le dernier objectif consiste à développer des revenus passifs pour être libre de mon temps. Aujourd’hui, si je m’arrête de travailler, je ne suis plus rémunéré. Demain, je souhaiterais pouvoir dissocier ma rémunération et mon temps de travail. Par exemple, à l’image des artistes qui continuent de toucher leurs droits d’auteur même s’ils sont en vacances.

Alors, comment y parvenir ? Quel est le plan d’action ?

Le plan d’action

Pour présenter mon plan d’action, je vais d’abord utiliser un exemple fictif qui illustre le fonctionnement que je voudrais suivre.

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Imaginons MisterD, cadre au 35h dans une PME et gagnant 2000€ par mois. Il travaille 5 jours par semaine et son travail est sa seule source de revenus (et elle n’est pas passive).

Passionné d’œnologie, il décide de donner quelques cours à des non initiés en parallèle de son travail. Il organise toutes les semaines 1 à 2 cours en début de soirée qui lui rapporte mensuellement quelques centaines d’euros.

Grâce à ce complément de revenus, il décide de réduire son temps de travail en entreprise à 4 jours. Il obtient son mercredi, son salaire est réduit, mais son niveau de vie reste presque inchangé par rapport à ses débuts.Désormais, il profite de son temps libre pour faire du tennis le mercredi après-midi.

En parallèle, il développe un petit blog sur le sujet. Il travaille sur sa mise en place à différent moment de la semaine et petit à petit, il réussit à générer quelques revenus réguliers grâce à la publicité, à l’affiliation et à la vente de produits numériques. Ce complément de revenus est presque passif puisqu’une fois le contenu du blog est en ligne, il n’a presque plus rien à faire.

Il en profite alors pour travailler sur la rédaction d’un livre. Après 1 an d’effort, son ouvrage parait, à raison d’une dizaine d’heures par semaine, son ouvrage parait. Grâce à des ventes modestes, mais régulières, il parvient encore à gagner mensuellement quelques centaines d’euros supplémentaires. Une fois son projet terminé, il a à nouveau du temps libre.

MisterD décide de s’intéresser à l’investissement immobilier et finit par acheter des parts dans une SCPI. Cette opération lui rapporte un autre complément de revenu entièrement passif. Il décide alors de ne plus travailler que 3 jours par semaine en entreprise pour se libérer encore plus de temps et entreprendre de nouveaux projets.

Petit à petit, il construit ainsi le mode de vie de ses rêves. Il réalise les projets qui lui tiennent à cœur, il jouit progressivement d’une plus grande liberté d’organisation, il diversifie ses revenus et il conserve le même niveau de vie.

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Bon je vous l’accorde, mon exemple est très optimiste. Néanmoins, il illustre parfaitement les grandes lignes de mon plan d’action. Ce dernier se découpe en 3 étapes :

  1. Entreprendre de petits projets personnels à pour faire ce que l’on aime avant tout
  2. Monétiser intelligemment son expérience en créant de la valeur pour les autres àpour développer des revenus supplémentaires,
  3. Se dégager du temps à pour entreprendre de nouveau projet…

Ainsi de suite, jusqu’à construire progressivement son style de vie idéal.

C’est cette philosophie que j’expérimente à travers le projet Mister Fanjo. Je réalise des projets qui me tiennent à cœur, en parallèle de mon travail. J’essaye ensuite d’en faire profiter les autres en partageant mon expérience tout en monétisant une partie de mon travail. Comme je l’ai dit en introduction, mon souhait serait de parvenir à développer progressivement un système qui me permettrait de :

  • Gagner de l’argent grâce à mes projets personnels.
  • Dissocier mon temps de travail de mes revenus et
  • Avoir un emploi du temps modulable

J’ai créé ce site internet et une chaîne YouTube pour partager cette aventure. Vous y trouverez certains des projets que je réalise ainsi que des retours d’expérience sur le projet Mister Fanjo.

Peut-être y trouverez-vous du contenu qui vous inspirera et vous aidera à réaliser vos propres projets et objectifs.

Signé Mister Fanjo,

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