Des histoires inspirantes, des anecdotes, des poèmes, des blagues … bref de petits textes qui poussent à réfléchir.
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Des histoires inspirantes
L’objectif de ce projet est simple : partager en vidéo des histoires inspirantes, des anecdotes, des poèmes, des blagues … bref de petits textes fascinants qui poussent à réfléchir.
Ces quelques vidéos et articles seront l’occasion de découvrir ou redécouvrir de courtes compositions.
Comme par exemple avec
l’apologue des trois tamis de Socrate
le célèbre poème “tu seras un homme mon fils” de Rudyard Kipling
l’histoire “les 3 questions” de Tolstoï
Je diffuserai le contenu de ce projet ponctuellement , en fonction de mes envies et en parallèle des autres projets
A propos du projet
Objectif personnel
Partager des histoires inspirantes pour développer mon éloquence, allocution …
Création de valeur :
Une vidéo et un article ponctuellement, en fonction de mes envies
Monétisation
Rémunération via la monétisation de la chaîne Youtube et du site internet
Dans cet article, je présente une expérience étonnante réalisée par le psychologue Daniel Simons sur la cécité d’inattention ainsi qu’une petite réflexion sur le sujet. C’est parti.
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La cécité d’inattention
Daniel Simons – « Gorillas in Our Midst »
Le psychologue américain Daniel Simons, spécialisé dans les sciences cognitives, est reconnu pour ses travaux sur la cécité au changement et la cécité d’inattention.
Cette expérience « Gorillas in Our Midst » (“Gorilles parmi nous”) est un exemple édifiant de comment nous pouvons passer à côté d’informations qui se trouvent juste devant nos yeux.
Selon le psychologue, cela s’explique par le fait que la vision est “coûteuse”, car elle nécessite le fonctionnement de milliers de cellules du cortex visuel. Pour ne pas consommer trop d’énergie, notre cerveau filtre les éléments qu’il voit. Il a tendance à se focaliser uniquement sur les informations relatives à la tâche qu’il exécute. Si l’objectif est de compter le nombre de passes alors notre cerveau va se concentrer uniquement sur les informations relatives à cette activité et occulter celles qui n’interfèrent pas avec cet objectif.
L’importance de prendre du recul
La cécité d’inattention est exploitée par les illusionnistes lorsqu’ils détournent notre attention afin de masquer leurs manipulations.
On peut aussi rattacher ce phénomène à notre tendance à rester bloqué sur les problèmes que l’on ne parvient pas à résoudre. Comme l’ont montré les travaux de Daniel Simons, lorsque le cerveau se concentre sur une tâche (comme la résolution d’un problème), il filtre les informations et en occulte un grand nombre. Ainsi, on peut passer à côté d’éléments qui nous auraient permis de résoudre le problème avec une autre approche.
Finalement, plutôt que d’essayer de résoudre un problème à tout prix, il vaut mieux prendre du recul quitte à perdre un peu de temps sur le court terme. L’adage “Reculer pour mieux sauter” prend ici tout son sens.
Conclusion
Les travaux de Daniel Simons sur la cécité d’inattention démontrent que beaucoup de choses nous échappent. Nous pouvons échouer à remarquer un stimulus pourtant parfaitement visible. Cela peut s’expliquer par le fait que notre cerveau se focalise sur l’activité qu’il doit exécuter et n’enregistre pas tous les éléments annexes.
Quels sont nos besoins fondamentaux ? Qu’est ce qui nous motive profondément ? C’est ce que nous allons découvrir dans cet article sur la pyramide de Maslow.
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La pyramide de Maslow : la pyramide des besoins
La pyramide de Maslow est une représentation théorique des besoins fondamentaux de l’Homme. Elle a été élaborée dans les années 1940 à partir des observations réalisées par le psychologue américain Abraham Maslow.
5 besoins fondamentaux
La pyramide de Maslow hiérarchise 5 besoins essentiels :
Il y a d’abord les besoins physiologiques. Il s’agit des besoins primaires que l’on cherche à satisfaire en priorité : se nourrir, s’hydrater, dormir, se reproduire, se vêtir…
Le deuxième niveau correspond aux besoins de sécurité. Une fois nos besoins primaires assouvis, on va chercher à se protéger des éléments extérieurs et rendre notre environnement plus stable et prévisible ( trouver un logement décent, se constituer une réserve de nourriture, d’argent, …)
La troisième strate de la pyramide de Maslow correspond au besoin d’appartenance. Il s’agit du désir de sentir que l’on fait partie de la société (tisser des liens, intégrer des groupes… bref se sentir entouré).
Le quatrième niveau de la pyramide correspond au besoin d’estime. En plus d’appartenir à une structure sociale, on a besoin de ressentir que l’on y a un rôle et une place (Être reconnu, aimé et apprécié pour ce que l’on est et ce que l’on apporte aux autres).
Enfin le dernier échelon de la pyramide est le besoin d’accomplissement de soi. Cela correspond au désir profond de donner un sens à sa vie et laisser une trace de son passage sur terre…
La hiérarchisation des besoins
La représentation de Maslow émet l’idée que lorsqu’un groupe de besoins est satisfait un autre va progressivement prendre sa place selon l’ordre hiérarchique. Par exemple, une fois que j’ai rejoint une entreprise et que mon besoin d’appartenance est comblé, je vais chercher à me rendre utile afin d’assouvir mon besoin d’estime.
A l’inverse, lorsqu’un besoin inférieur n’est plus satisfait, il redevient prioritaire. Si je perds mon logement (besoin de sécurité), mon esprit risque de se focaliser sur la recherche d’un nouveau “chez moi”, plutôt que sur mon travail.
Critiques et limites sur la théorie de Maslow
De nos jours, la théorie sur la motivation de Maslow est réfutée car elle comprend de nombreuses limites.
Son modèle se base uniquement sur l’étude de la culture occidentale
La hiérarchisation des besoins est contestable. Satisfaire un besoin inférieur avant un besoin supérieur n’est pas systématique. Par exemple, certaines personnes vont privilégier leur carrière (pour satisfaire leur besoin d’accomplissement ou d’estime) quitte à sacrifier leur relation (besoin d’appartenance).
Il existe peu de données disponibles pour valider ou invalider sa théorie.
Enseignements et conclusion
On peut retenir que la pyramide de maslow est une représentation théorique de la hiérarchisation des besoins fondamentaux de l’Homme. Même si son modèle n’est pas validé, il reste une manière de mieux nous comprendre car il aide à catégoriser les motivations et les besoins profonds que l’on cherche à satisfaire.
Mythologie grecque : Que sont les 12 travaux d’Héraclès ?
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Les 12 travaux d’Héraclès
Héraclès (aussi appelé Hercule dans la mythologie romaine) est le fils de Zeus et d’Alcmène. Il est l’un des héros les plus vénérés de la Grèce antique. La mythologie grecque lui prête un très grand nombre d’aventures, dont les plus célèbres de ses exploits sont les douze travaux.
L’épopée débute après qu’Héraclès ait tué sa femme Mégara et ses fils d’un coup de folie. Il consulta une prophétesse la Pythie pour savoir comment expier sa faute. Elle exigea qu’il se mette au service de son ennemi : Eurysthée. Ce dernier lui ordonna, à son tour, d’accomplir plusieurs tâches : 12 travaux.
1/ Vaincre le lion de Némée
La première tâche consista à vaincre Le lion de Némée qui terrorisait les habitants de la région du même nom. Héraclès parvint à terrasser la bête en l’étouffant et ramena sa dépouille auprès Eurysthée.
2/ Tuer l’hydre de Lerne
Hercule se rendit dans le marais de Lerne pour affronter le monstre, un serpent d’eau à plusieurs têtes. Il ne réussit à le vaincre qu’avec l’aide d’un de ses plus fidèles compagnons Loloas.
3 / Capturer la biche de Cérynie
La créature aux cornes d’or était réputée pour sa vitesse extraordinaire. Le héros la poursuivit pendant un an jusqu’à ce qu’elle s’épuise. Il put alors l’immobiliser en lui décochant une flèche entre l’os et le tendon de la patte. Il chargea l’animal sur ses épaules et revint chez Eurysthée.
4 / Ramener vivant l’énorme sanglier d’Erymanthe
Héraclès pourchassa la bête gigantesque durant l’hiver. Après l’avoir fait sortir de sa tanière grâce à des cris, il la coursa à travers la montagne. Harcelé et épuisé, le sanglier tomba dans un trou creusé par Héraclès pour le piéger. Le héros put ainsi maîtriser et enchaîner la bête.
5 / Nettoyer les écuries d’Augias,
Augias, le souverain du royaume de l’Élide, possédaitde gigantesques écuries pour ses animaux qui n’avaient jamais été nettoyées. Héraclès les décrassa en détournant les eaux du fleuve Alphée. Une fois les écuries propres, il détruisit les dérivations construites et laissa le soleil sécher les bâtiments.
6 / Tuer les oiseaux du lac Stymphale aux plumes d’airain.
Après les avoir débusqué, Héraclès essaya de les tuer avec ses flèches mais n’y parvint pas car ils étaient trop nombreux. Il prit alors son épée et la frappa contre son bouclier pour faire fuir les oiseaux. Il continua jusqu’à ce que tous les animaux tombèrent d’épuisement dans le lac et se noyèrent.
7 / Dompter le taureau crétois de Minos
Cette créature, offerte par Poséidon pour être sacrifiée, fut épargnée par le roi Minos. Poséidon se vengea en rendant le taureau furieux et en lui faisant dévaster les terres de Crète. Héraclès parvint à le capturer en sautant sur lui et en le saisissant par les cornes. Il revint en Grèce sur le dos de l’animal.
8 / Capturer les cavales de Diomède
Les cavales sont des juments carnivores que le roi de Thrace, Diomède, nourrissait avec la chair de ses hôtes. Selon une version de la légende, Héraclès assomma le roi et jetta son corps aux cavales. Elles devinrent alors dociles et Héraclès put les mener à Eurysthée.
9 / Rapporter la ceinture d’Hippolyte
Hippolyte était la reine des Amazones. Selon une des versions du mythe, alors qu’Héraclès allait s’emparer de la ceinture, la déesse Héra sema la panique, le héros tua Hippolyte et il s’en alla avec la ceinture.
10 / Vaincre le géant Géryon, et voler son troupeau de bœufs.
Après avoir tué Orthros (le chien à deux têtes de Gyréon) d’un seul coup de massue, Héraclès combattit le géant à trois têtes. Il le tua grâce à une flèche empoisonnée avec venin de l’Hydre. Il déroba ensuite ses bœufs et les ramena à Eurysthée.
11 / Rapporter les pommes d’or du jardin des Hespérides
Les fruits du verger étaient gardés par Ladon un dragon à cent têtes. Ne pouvant se rendre dans le jardin, le héros sollicita l’aide du titan Atlas. Ce dernier lui proposa de lui rapporter les pommes, seulement si Héraclès le remplaçait pour porter le fardeau de la voûte céleste à sa place. Héraclès accepta.
De retour avec les fruits d’or à la main. Héraclès utilisa une ruse pour piéger le titan. Il lui demanda de reprendre le poids du ciel pour quelques instants, le temps de trouver une meilleure position. Atlas posa les fruits et reprit la voûte céleste en toute confiance. Il surprit alors Héraclès ramasser les pommes d’or et s’éloigner.
12 / Descendre aux Enfers et enchaîner Cerbère
Ce chien à trois têtes gardait l’entrée du royaume des enfers d’Hadès. Héraclès rejoignit ce royaume des morts en traversant le Styx. Arrivé devant le trône d’Hadès, il se battit au corps à corps avec le maître des Enfers. Une fois vaincu, il se présenta devant Cerbère pour l’affronter. Il parvint à le saisir le cou, et, quoique mordu, le serra si fort que le chien, sentant la mort venir, se décida à suivre le héros. Héraclès enchaîna l’animal, le tira hors de la caverne et vint le montrer à Eurysthée. C’est ainsi que le héros termina ses 12 travaux et forgea sa légende.
On peut noter qu’il existe plusieurs versions autour de ce mythe. Quoiqu’il en soit, Héraclès est l’un des héros les plus célèbres de la mythologie grecque.
Qu’est ce que le conformisme social et l’expérience de Asch ?
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L’expérience de Asch
Avez-vous déjà été influencé par l’effet de groupe ?
Attendre derrière une caisse bondée sans oser aller à celle qui est libre juste à côté
Se mettre à courir en imitant une foule sans trop savoir pourquoi
Ne pas oser rentrer dans une pièce car plusieurs personnes attendent devant la porte
La tendance à se conformer au comportement du groupe a été étudiée par le psychologue Solomon Asch. Dans une expérience, publiée en 1956, il démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d’un individu au sein d’un groupe.
Le protocole
Un groupe d’étudiants était invité à participer à un prétendu test de vision. L’examinateur demandait aux sujets de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d’affiches. L’exercice (très simple) consistait à identifier laquelle des 3 lignes de droite avait la même longueur que la ligne “témoin” de gauche. Les participants donnaient leur réponse à tour de rôle.
Il faut noter que seul l’avant dernier participant du groupe était le sujet de l’étude. Les autres étaient des complices de l’expérimentateur. Leur rôle était de donner une mauvaise réponse à chaque fois.
L’objectif était d’analyser comment le sujet allait réagir en constatant que le groupe n’était pas du même avis.
Les résultats
L’expérience a montré que 37 % des sujets finissaient par se conformer aux mauvaises réponses soutenues à l’unanimité par les complices.
Pourtant, lors de l’expérience témoin,les sujets indiquaient constamment les bonnes réponses lorsqu’ils faisaient le même exercice seul face à l’examinateur.
L’expérience fut réitérée à de nombreuses reprises et avec des variantes différentes :
faire répondre le sujet en premier
demander à un des complices de donner de bonnes réponses
faire l’exercice par écrit
Réduire le groupe à deux participants
etc…
Les résultats de l’expérience de Asch ont montré que dans la plupart des situations les sujets répondaient correctement, excepté lorsqu’ils devaient soutenir des réponses qui allaient à l’encontre de l’avis unanime d’un groupe. Dans ces cas, ils avaient tendance à se conformer à l’avis de ce dernier même si la réponse donnée n’était pas cohérente.
Mimétisme de la foule – Effet témoin
L’expérience de Asch fait écho à un biais comportemental : celui du mimétisme de la foule ou le comportement moutonnier. Nous avons tendance à nous comporter comme les gens qui nous entourent.
Il s’agit du mécanisme qui explique les mouvements de foules ou encore les effets modes (s’habiller comme tout le monde pour être dans le moule). Ce mimétisme peut s’expliquer par divers facteurs. D’une part, nous essayons de nous conformer au comportement du groupe pour ne pas être perçu comme différent et ainsi ne pas prendre le risque d’être rejeté. D’autre part, le mimétisme est un comportement de défense naturel, inné et utile à notre espèce. Par exemple, si j’aperçois des individus affolés courir dans la direction opposée, j’ai tout intérêt à faire de même car peut-être sont-ils en train de fuir un danger que je ne vois pas encore.
En parallèle, le mimétisme peut aussi expliquer pourquoi dans certains cas une foule peut ne pas porter assistance à une personne en danger. Dans une situation inhabituelle, les gens cherchent la manière de réagir en scrutant les autres. Or si tout le monde s’observe et que personne n’agit, on tombe dans un état de passivité général. C’est ce que l’on appelle l’effet témoin ou effet du spectateur.
Si l’on est victime de ce genre de situation, l’astuce est de ne pas s’adresser à la foule pour demander de l’aide, mais plutôt de cibler une personne précise. Dès qu’on donne la responsabilité d’action à un individu, il se détache généralement du comportement du groupe. Ainsi, le pouvoir du mimétisme s’atténue et d’autres individus commenceront à agir à leur tour.
Conclusion
L’expérience de Asch démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d’un individu au sein d’un groupe. Nous nous comportons naturellement comme les personnes qui nous entourent.
Qu’est ce que le biais du survivant ? Quel enseignement peut-on en tirer ?
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Le biais du survivant – Définition
D’après la définition de Wikipedia, Le biais du survivant est une forme de biais de sélection consistant à surévaluer les chances de succès d’une initiative en concentrant l’attention sur les sujets ayant réussi mais qui sont des exceptions statistiques(des « survivants ») plutôt que des cas représentatifs.
Illustrons ce concept par un exemple historique datant de la Seconde Guerre mondiale.
Les bombardiers de la Seconde Guerre Mondiale
Au cours du conflit, un grand nombre de bombardiers étaient détruits en opération. Une étude a été menée pour essayer de minimiser leur perte. Une équipe a étudié les dommages reçus par les avions rentrés de mission. Ils ont constaté que la majorité des impacts étaient localisés à l’extrémité des ailes, sur la queue et à la jonction entre le fuselage et les ailes.
Ces résultats leur ont permis de déterminer les zones à protéger par un blindage pour maximiser les chances de retour des bombardiers.
A leur place, où aurriez-vous placé ce blindage sachant qu’il est impossible de le positionner sur toute la surface car l’avion serait trop lourd ?
Contre intuitivement, il faut protéger les zones qui ont reçu le moins d’impacts. En effet, les données proviennent des bombardiers qui ont « survécu ». L’étude montre donc les dommages mineurs qui peuvent être encaissés par les avions. On peut supposer que les zones sans impacts correspondent aux éléments endommagés sur les appareils qui ne sont pas revenus. Ce sont donc les zones sensibles à protéger.
Finalement, le biais du survivant, c’est considérer les données relatives aux éléments qui ont réussi mais qui ne sont pas forcément représentatifs.
Exemples de biais du survivant
Tomber dans le piège de ce biais c’est dire par exemple :
“Les constructions architecturales de nos ancêtres semblaient plus solides que les nôtres au regard des édifices qui ont traversé les âges”. C’est oublier toutes les nombreuses autres constructions qui n’ont pas survécu à l’épreuve du temps.
“Les musiques des décennies passées sont meilleures que les musiques actuelles car elles ont eu majoritairement plus de succès que la plupart des tubes actuels”. Il ne faut pas oublier toutes les anciennes musiques qui ont eu un succès limité et qui ne sont pas parvenues à nos oreilles.
“Chercher les secrets de longévité des centenaires en s’intéressant à leurs habitudes de vie”, sans considérer les mauvaises habitudes de toutes les personnes qui n’ont pas vécu jusqu’à 100 ans.
Bref, le biais du survivant est la tendance à considérer les données relatives aux éléments qui ont réussi mais qui ne sont pas forcément représentatifs.
L’ enseignement
A ce propos, on peut constater que l’on trouve énormément de livres, d’articles, de reportages sur des success stories, de grands accomplissements, ou encore sur les secrets des meilleurs … . mais sont-ils vraiment représentatifs ? N’y-a-t-il pas plus de perdants que de gagnants ? N’a-t-on pas tendance à tomber dans le biais du survivant en sur-médiatisant les réussites et en ne s’intéressant pas aux échecs ?
Je crois que l’un des enseignements que l’on peut tirer de ce biais est qu’en plus de s’intéresser aux gagnants, il ne faut pas oublier d’enquêter sur les perdants.